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LA FRAGMENTATION

« Rien n'est Vrai, tout est vivant »

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Étiquette : court métrage

Court-métrage – Du bout des doigts

septembre 23, 2019 Zyle

C’est l’été qui disparaît. Alors enfin, je reprends des choses en cours et achève le montage d’un nouveau court-métrage. Cette fois-ci, je me suis amusée

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Aujourd’hui j’ai quitté la forêt

février 10, 2019 Zyle

Nous sommes venus vous parler de cette nature que vous appelez sauvage. Mais êtes-vous prêts à l’entendre ?

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Nos réalités fragmentées qui se croisent ou se mêlent

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CHAMPS : comme « champs » de réflexion. S’étonner ou s’interroger sur des sujets qui touchent

MOSAÏQUE : récits plus intimes, moments de vie ou expériences personnelles…

MEANDRES : espace libre pour l’écriture, la poésie, etc.

DISSONANCE : Fragments du monde étranges, beaux, uniques et inspirants.

SOUCHE : Réflexions sur le support, la démarche

Étiquettes

Corps court métrage espace espaces urbains Etrange fable Fragmentation Féminisme identité politique portes fermées Poésie sauvage société travail Témoignage vidéo violence écriture

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La chair nue que j'y perdS #lesmotscarrés
Merci au Tipi de m'avoir accueillie avec d'autres freaks pour son cabaret du 28 novembre sur le thème crado/trash. J'ai eu le plaisir de pouvoir y narrer un (anti-)conte personnel qui tente de s'éloigner de certains schémas normatifs sur le genre et la féminité... 🔥 #tipibruxelles Crédit photo : Chuen Agohri
Une rencontre. #lesmotscarrés
C'est la créature-racine, iel se disperse pour mieux se trouver
Savoir dé-choisir, voyez-vous #lesmotscarrés
Je ne sais pas pourquoi je ne parviens pas à supporter le moindre carcan. Je n'arrive pas à jouer certains jeux sociaux, ne perçois pas toujours les chemins ou les portes et quand je erre sur les bas-côtés, je me heurte à d'étranges ronces ou de froids marécages. Sans le vouloir ou le comprendre je reste sauvage, mouvante, insaisissable. Je fuis, je coule, je glisse dans diverses directions. Comme si j'étais chair sans carapace, liquide sans récipient. J'ai le sang mais pas les veines. Ma peau, je la vois, est aussi nue que vulnérable. Elle se blesse et se fissure, prend peur. Je ne veux pas être quelque chose. Ni quelqu'un. Je veux plus. Être. Être multiple, mélange, fusion. Je ne veux pas me battre pour me faire reconnaître, je ne veux pas attendre qu'on m'attribue le bon rôle ni qu'on me place comme figurante. Je ne veux m'imposer nul part mais je ne veux pas être simple spectratrice. Je ne respecte ni les morales ni les normes. J'aime les transformations douteuses et les assemblages improbables. Les phrases boiteuses. Les mouvements sans début ni fin ni direction. . Je ne peux plus poser de nom sur les choses et j'attends que les choses se proclament elles-mêmes. Je n'ai plus d'identité.
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